CAQ et ADQ : l’Agace et la Courtisane

Je suis pour une fusion entre l’ADQ et l’organisation de François Legault. Que le mariage soit consommé et qu’on en finisse!

Si l’on se fie à Denis Lessard – je le sais, c’est risqué – c’est ce que veulent les députés de l’ADQ, c’est ce que veut l’exécutif du parti et c’est ce que veulent bon nombre de militants. Quant à ce que désire le chef Gérard Deltell, il semble que cela ne soit plus pertinent.

Soyons clairs. Le rapprochement tant désiré n’a rien à voir avec une quelconque compatibilité de philosophies politiques. Il existe bel et bien à l’ADQ une frange importante qui n’aura aucun problème à endosser la vision (hic) de François Legault, mais si celui-ci n’était pas en tête des sondages, rien de tout ça n’aurait lieu.

Maintenant, depuis le temps que François Legault fait subir le supplice de la goutte à l’ADQ, l’agace doit maintenant se commettre. La stratégie d’une longue période de flirt a bien réussi. L’ADQ en déroute et au plus bas dans les sondages s’est faite belle. Pour plaire encore davantage, elle consentira à mettre de côté principes et convictions.

Legault trouve trop périlleux d’endosser les positions plus réformatrices de l’ADQ? Pas de trouble. On se convaincra qu’on pourra l’influencer de l’intérieur et mettre des mots dans la bouche du chef qui sauront « coaliser » l’arc-en-ciel… Legault trouve que Deltell n’est pas suffisamment nationaliste? Pas de trouble. L’exécutif du parti et la députation adéquiste lui enverront un puissant signal que le chef peut être contourné. Le nom du parti ne plaît pas à Legault? Pas de problème. On le changera. Après tout, ce n’est qu’un nom.

Débarrassée de ces défauts – incluant les partisans de centre-droite -, l’ADQ est maintenant présentable et prête à baiser. Depuis le temps que la frange timorée voulait se défaire de l’étiquette « de centre-droite » ou « de droite », quelle belle opportunité que celle que leur offre François Legault. Après tout, le code génétique de l’ADQ a beaucoup plus à voir avec le nationalisme interventionniste des CAQuistes, non?

J’ai bien hâte, oui, que le mariage soit consommé. Honnêtement, entre vous et moi, je ne vois pas en quoi Legault a besoin de l’ADQ, mais continuer de l’ignorer est presque de la cruauté mentale! Bref, l’amour n’y sera peut-être pas au début, mais il me semble que se prépare depuis de nombreux mois un mariage de convenance et d’intérêts qu’il faut maintenant, et au plus vite, officialiser.

L’ADQ n’est plus depuis un bon moment, autant s’y résoudre. Si, comme la ministre Line Beauchamp le dit, Legault veut « acheter l’ADQ », bon sang, qu’il le fasse. Les militants méritent au moins d’avoir l’heure juste.

Quant à Gérard Deltell, je lui dirais ceci: Il est temps de démissionner. Legault ne se dégonflera pas. Il ne s’effondrera pas et il n’abandonnera pas son projet. La même population qui a voté pour des anglophones unilingues le 2 mai dernier éradiquera à la fois le PQ et l’ADQ de la scène politique aux prochaines élections et votera pour leur nouveau sauveur. Quant aux forces réformatrices, elles auront à décider si elles auront l’énergie et le courage de préparer une éventuelle offre alternative.

Les carottes sont cuites, mes amis! Aux noces, maintenant!

P.S.

8 septembre, Le Nouvelliste,
   C’est la Mauricie qui force la main à Deltell
8 septembre, Le Devoir,
   François Legault veut construire un parti neuf sans bases adéquistes
8 septembre, Le Journal de Québec,
   Mariage pratiquement consommé
 

22 réflexions sur “CAQ et ADQ : l’Agace et la Courtisane

  1. Bravo Johanne. François Legault est centre gauche mais j’espère que les membres de l’ADQ vont le faire évoluer vers la droite. De toute façon la dure réalité de la dette et des déficits à répétition va le forcer à adopter des réformes.
    Il vaut mieux un François Legault qui a mis en veilleuse l’indépendance qu’une Pauline Marois qui ne fait que demander l’impossible à Ottawa dans l’espoir de créer une crise pour faire son référendum.

  2. Votre présentation est drôle dans un contexte dramatique. Mais on ne peut pas nier son réalisme.

    C’est bien dommage pour Monsieur Deltell. Dans la tempête politique, le chef n’a pas réussi à renflouer le parti très endommagé avant son arrivée.

    C’est vrai; nous méritons d’avoir l’heure juste. Mais ce n’est pas vrai que le Québec ne mérite que des partis gogauches de toutes les couleurs.

    « Quant aux forces réformatrices, elles auront à décider si elles auront l’énergie et le courage de préparer une éventuelle offre alternative ». Voilà toute la problématique.

    Je n’irai pas au CAQ. L’ADQ ne sera plus. Le RLQ ne doit pas devenir un parti. Alors vite le nouveau parti de droite pour être prêt aux prochaines élections générales.

    Cette fois soyons conscients que pour faire fonctionner un parti au Québec, il faut 1500 militants: 10 par comté, soit 1250 et 250 répartis dans les régions, aux commissions et au national. C’est ce qui a manqué à l’ADQ pour bien traverser sa première élection générale. Il en a souffert par la suite. Le deuxième élément consiste à devenir capable rapidement de travailler ensemble. L’argent n’est pas tout. Nous l’avons vu au fédéral le 2 mai. Le sujet qui demande de l’étude et de la conciliation est l’élaboration du programme. Nous verrons si nous sommes adultes.

    Je me porte volontaire.

  3. Joanne, concernant ce dossier, il y a une question qui me turlupine sans cesse… D’ailleurs tu introduit très bien la problématique dans ton texte quand tu dis qu’on va se convaincre qu’on peut influencer les choses positivement de l’intérieur. Mais ma question est la suivante : si c’étais eux qui réussissait à convaincre les membres de l’ADQ de l’intérieur? S’il ne faisait que profiter de la vague pour venir chercher l’électorat de droite dans un emportement général comme il ne s’en fait qu’au Québec? Legault n’est en rien un sauveur… Il va certes rafler la cagnote car les québécois votent en moutons, mais il n’apportera rien de concret. Et ensuite, si tous nos adéquistes sont rendus au PQ2, que reste-il de la droite? Devra-t’on recommencer à partir de rien? Car s’il se plante dans son probable futur mandat, ne serait-il pas mieux d’avoir un ADQ toujours vivant qui puisse prendre la place du sauveur?

    • Idéalement cela prendrait un parti qui répondrait aux aspirations de tous les orphelins de droite, oui.
      Mais à un moment donné, il faut réaliser que la population ne veut pas de l’ADQ. Elle lui a donné une chance et elle a déçu.
      Maintenant les gens veulent faire confiance à quelqu’un d’autre.
      Ultimement, cela prendra sans doute une véritable alternative. Toutefois, je n’ai aucune idée d’où elle viendra…

  4. Joanne très drôle…La meilleure chose que tu peux faire c’est d’humilier l’ADQ, ils sont dans le coma. Peut être qu’ils se reveilleront et commenceront à se faire entendre très clair sans penser s’ils doivent collecter des votes avec leurs déclarations. M. Pouliot m’apparait solide, peût être que M. Deltell devrait resigner de son poste. Nous devons montrer aux concitoyens que notre situation financière doit être corrigé et que nous devons tous participer pour remettre le Québec debout.

    • Excellent, sauf au sujet de Monsieur Deltell. Je lui laisse prendre sa décision et je l’appuirai.

  5. Triste, mais vrai. L’ADQ me gagnera pas d’élection, alors il faut mieux avoir Legault que Marois ou Charest.

    Puis à quoi ça sert d’avoir un parti de droit dans laquelle on se sent à l’aise, si la population n’en veut pas? Les partis politiques c’est pour gouverner. Si c’est juste pour jaser avec des gens qui pensent pareil comme nous, ben on a le RLQ maintenant. Espérons qu’on peut avoir un peu d’influence avec.

  6. Hm… quel négativisme :-))), je tien vous informer que maintenant dans l’ADQ il y en a une gang des gens qui croit dans les idées de la droite, et peu importe si l’ADQ va être vote ou pas, les idées vont rester là, parce que a un moment donne Québec va commencer de raisonner et de ne plus voter pour la personne avec la plus belle moustache :-))). Gerard ne doit pas démissionner, car on a besoin des gens comme lui qui va lutter pour ces idées, il doit rester là. On n’a pas besoin des opportunistes mais du monde qui vont travailler quand ça va mal et pas quand ça va très bien dans les sondages. Les gens devront l’appuyer car il y en a pas beaucoup de monde avec cette force de caractère.

    • Je ne connais pas l’avenir. Dans l’éventualité où l’ADQ se joint au CAQ, Monsieur Deltell devra démissionner. Si non, il deviendra un pot de fleurs dans ce nouveau parti.

  7. Malheureusement, je pense que l’ADQ n’a pas le choix de fusionner avec le mouvement Legault. Elle est seulement forte dans la région de Québec où elle est en première place. En dehors de la grande région de Québec, l’ADQ est un tiers parti qui ne va nulle part. Je ne pense pas que l’ADQ pourra prendre le pouvoir dans un avenir rapproché. Je crois que les adéquistes devront tenter de faire avancer leurs idées dans le nouveau parti de Legault.

    M. Legault est un centre-gauchiste mais je vais donner mon appui au prochain scrutin car il faut battre Charest. Cela sera plus un vote anti-Charest qu’un appui solide au parti de Legault.

  8. Mais pourquoi fusionner un parti de droite avec le gauchiste Legault. S’il est si intéressant, allez-y Mme Marcotte !!! De toute façon, n’avez-vous pas déchirer votre carte de membnre de l’ADQ au lendemain de la course à la chefferie Caire-Taillon ? Que connaissez-vous de l’ADQ de Gérard Deletell ? Je ne vous y ai jamais vu.

  9. L’article pour ma part me déçoit énormément. Il reflète clairement ce que bon nombre de partisans de la droite sont: des individualistes incapables de se rallier à un seul mouvement.

    On l’a d’abord vu quand deux pleurnichards ont quitté le navire de l’ADQ parce que l’un d’eux n’en était pas le capitaine. Juste avant eux une bonne partie des rameurs de droite ont quitté le navire pour la même raison. Si on appliquait ce raisonnement à l’échelle de la province, c’est comme si chacun d’entre eux avaient écrit au DGE pour lui demander qu’on leur retire le droit de vote.

    Il faut voir l’ADQ comme une bonne vieille galère romaine. Elle filait à droite toute.Mais si tous les rameurs du même côté de la galère quittent, comment veux-tu ne pas aller à gauche. Et si demain tous les rameurs de droite revenaient pour nous ramener vers la destination, dites-moi, croyez-vous vraiment que la fusion aurait lieu?

    L’erreur est toujours la même: si vous voulez que votre message passe, prenez place dans le véhicule qui contient le seul porte-voix encore disponible ou ayez le courage de créer votre propre véhicule (électoral).

    Il y a trop de GÉRANTS D’ESTRADES. Embarquez et arrêtez de vous plaindre que la patinoire de la droite est vide.

  10. Ce faux revirement vers la droite de M. Legault, en fait, l’ énorme attention que lui donne les médias, à mon avis, n’ est pas un hasard… Les médias, on le sait on une aversion pour pour la droite. On a pu le constater lors des deux derniers congrès du RLQ: Beaucoup de journalistes curieux sur place, aucune chronique, aucun reportage le lendemain…
    Mais ils se rendent bien compte que la population, mal éduquée en politique, commence tout de même à être septique face au modèle québécois ( Lire ici le socialisme ).
    Donc les médias, qui constate que le beau rêve tire à sa fin, vont essayer de partir le bal en publicisant une droite comme ils la voudraient; non pas en appuyant le RLQ, qui est, à mon avis, le vrai précurseur de la droite au Québec, Mais une droite de gauche, en portant en héros ce séparatiste qui lui, à eu la brillante idée de récupérer cette vague.
    Il faut garder les yeux ouvert; Car M. Legault l’ a bien dit: il METS DE COTÉ la souveraineté; il ne l’ oublie pas! Évidemment, ça ne passerait jamais. Mais sa serait tout de même un retour à la case départ…
    Donc, j’ aime quand même votre idée! Ça aurait le mérite de faire disparaître le PQ pour de bon! Peut-être même de faire revenir les libéraux un peu vers la droite… Allons! Si on ne peut plus rêver…

  11. Le CAQ est un autre PLQ, un parti socialo-démocrate avec une économie mixte, sans avoir à se taper les discours nationalistes péquistes.

    Toujours la même histoire: Votez pour nous et on va mieux gérer les société d’État. Ce qui est impossible, parce qu’ingérable et que le client doit se taire parce que pas de liberté de choix, le pouvoir d’achat venant de la redistribution de base est injecté directement dans les sociétés d’État pour plaire à une minorité de travailleurs privilégiés.

    Ensuite, comme le PQ et PLQ, si au pouvoir, il y aura pleins de nouvelles lois et réglementations à la con dont on ne parlait pas durant les élections. Création aussi de nouvelles fonctions…

    Sans oublier que Legault n’a toujours pas créé de parti, alors on nage dans la spéculation.

    Les médias de masse sont lassés des discours séparatistes, sauf pour alimenter les potins; et ils cherchent un concurrent au PLQ qui est au pouvoir depuis quelques années. Comme l’ADQ ne fite pas avec leur mentalité socialiste, ils se garochent sur Legault pour en faire la promotion en manipulant la mentalité moutonnière d’une bonne partie de la population qui ne connaissent rien à l’économie politique, pour eux tout est axé sur les élections symbole de la démocratie. Sauf que le système électoral n’est pas la maison de la démocratie, mais sa porte. Le reste concerne la liberté, droit de propriété, droit de s’ouvrir la trappe…

    L’ADQ n’a rien à voir avec les autres parties. Si des députés s’intéressent au CAQ, qu’ils démissionnent pour se faire élire sous une nouvelle bannière.

  12. « Si, comme la ministre Line Beauchamp le dit, Legault veut « acheter l’ADQ », bon sang, qu’il le fasse. Les militants méritent au moins d’avoir l’heure juste. »

    Voici une alternative aux propos de la libérale jusqu’au bout, Line Beauchamp.

    Legault et la CAQ feraient mieux de fusionner à QS, au lieu de l’ADQ. Pour une raisons simple, de fiscalité.

    En 2010… Selon les rapports des auditeurs Raymond Chabot Grant Thornton et Baril et associés senc

    L’ADQ a reçu de ses supporteurs 225,092 $
    Le QS, a recu de ses supporteurs 436,541 $. Soit 94 % de plus.

    L’ADQ supporte une dette de 613,000 $ du 25 mars 2003, laissée en cadeau par la girouette Mario Dumont.

    Dont 100,000 $ doivent être remboursés au 31 décembre prochain. Plus un autre emprunt de 26,544 $ de l’élection de 2008, dont 13,272 $ doivent être aussi remboursé au 31 décembre prochain. Pour une total du de 113.272 $.

    Les communistes du QS supportent une dette «des électeurs» de 223 700 $. Dont 163 400 $ viennent à échéance en cet an 2011. Le solde de 60,300 $ en 2012.

    Faites votre choix !…
    Pourquoi une CAQ sans dette devrait-elle fusionner à l’ADQ et contribuer à rembourser la dette pour Mario Dumont ? Au lieu du QS qui recueille le double de ses supporteurs, pour une dette 3 fois inférieurs à l’ADQ ?…

    Non mais… Si vous avez lu et croyez l’article de l’employée rigolote de QMI, Geneviève Lajoie, 08/09/2011 10h29, notre expert des médias dit que vous avez été hameçonné. Hé oui !…

    Elle est vraiment bonne celle-là.

    SP

  13. À votre réponse Joanne, à M. Daniel Landry ( le 7 septembre 2011 ) ; il est peut-être possible qu’une alternative vienne simplement avec ce que les québécois et québécoises attendent d’un parti politique : i.e. de l’Honnêteté !!!

    Et quoi de plus vrai que de dire aux électeurs du Québec que leur dette publique est ( en date de ce jour ) de près de $ 240 milliards…Il est de mise aussi, dans un même élan d’autenticité, de promettre à l’électorat du Québec que  » le parti X  » mettra tout en branle afin de stopper le compteur de la dette de l’IEDM ( premier pas inévitable afin de commencer à vouloir atteidre un objectif louable qu’est le DÉFICIT ZÉRO…) et ce, dans une pratique de la démocratie éthymologiquement comprise comme étant : <> en la rendant accessible à tous et à toutes, par des sondages d’opinion véhiculés par les médias ( TV,radio,journaux,internet, etc… ) et par lesquels les gens en droit d’exercer leur « veto » peuvent le faire par un numéro de téléphone gratuit ( un 211 par ex. ) et hyper-sécurisé à lequel on ne peut donner son opinion une seule fois qu’après avoir composer son NAS ( numéro d’assurance sociale ). Il serait bien aussi de se faire,( à l’instar du gouvernement fédéral ), un <> afin se de donner un outil qui est à la fois transparent et crédible et dont tous et toutes peuvent le consulter en tout ou en parti ( résumé en bref ) pour savoir où on en est avec notre faillite provinciale…et ce gratuitement—contrairement aux publications du gouvernement du Québec qui coûtent toutes quelque chose sauf la publication qui annonce toutes les publications à vendre ; et dont personne n’a vraiment l’intérêt, la pécune, et la patience d’en faire la demande par internet ou par téléphone ( ou encore par la poste…jamais essayé… )— !!!

    Et, dans un geste inhabituel au Québec ( lors d’une campagne électorale ), faire la promesse de ne plus faire de promesse…pour signifier qu’il serait malhonnête de faire croire à un peuple entier que tout va continuer avec des partis politique corrompus et assoiffés de pouvoir et de $$$ ; comme c’est le cas depuis que René Lesvesque est décédé et que le PQ a laissé  » la souveraineté-association  » dans l’oublie, pour s’échanger le pouvoir (et évidemment les coffres de ce Méga État qu’est devenu le Québec politico-materné ) avec des libéraux dont je crois, plus personne ne veut croire leurs mensonges carabinés tout comme ceux du parti québécois d’autre part< >.

    Merci Serge pour votre mise en ligne des redditions de compte de toutes et tous…

    Claude

  14. @Claude Verreault Jr
    C’est vrai que le peuple veut un parti HONNÊTE.

    Mais pour y arriver, il ne suffit pas d’avoir de nouveaux politiciens. Ce parti a besoin d’assez d’argent propre pour fonctionner. C’est comme le logement, l’auto et l’épicerie, ce n’est pas gratuit. Donc pour que le parti nous ressemble, il a besoin de financement, de militants et de dirigeants honnêtes.

    Qui sont assez courageux pour s’impliquer?

  15. Simple divagation:

    À quand un parti des indépendants (PIQ)?

    La première personne qui se fait élire comme indépendant forme le parti. Les autres doivent faire de même pour y adhérer s’ils le désirent. Le programme variera en fonction des votes des députés, si égalité, alors un bris d’égalité selon l’ancienneté des députés.

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